Hedin Automotive Alost a livré un Mercedes-Benz Arocs 8×4 SLT avec cabine Bigspace et Embrayage à Ralentisseur Turbo à De Meuter. Ronny Van Droogenbroeck a travaillé un moment en tant qu’indépendant. C’est à cette époque qu’il a acheté ses premiers camions Mercedes à Kurt Van Asch chez ce qui n’était pas encore Hedin Automotive à Alost. Il y a quelques années, Ronny a recommencé à travailler comme salarié chez De Meuter. Le véhicule qui était utilisé là-bas pour le transport lourd, était en fin de vie. Quand on a demandé à Ronny quel véhicule il fallait acheter, il n’a pas dû réfléchir longtemps : « Un jour, Kurt m’avait invité à aller voir la présentation du nouvel Arocs en Allemagne. Geert Groeninckx, Technical Sales Support, était également présent. Il m’a expliqué le mode de fonctionnement du système ERT. J’ai été tout de suite intéressé. » ERT : l’allié dans les tâches lourdes Son nouvel Arocs 8×4 est équipé d’un moteur OM473 qui délivre 625 ch et un couple de 3000 Nm. Il est surtout équipé de l’embrayage à ralentisseur turbo. Cet embrayage associe les fonctions d’un embrayage de démarrage hydrodynamique et d’un ralentisseur primaire. Il assure des démarrages énergiques tout en permettant au chauffeur de manœuvrer avec précision et sans limite de temps à bas régime. Ronny l’apprécie en professionnel : « J’ai aussi effectué des essais de conduite avec des Volvo et MAN, mais cela ne m’intéresse pas de savoir si je peux franchir une colline à 40 ou à 43 km à l’heure. Je suis principalement sur Bruxelles et ses abords ; logique, puisque notre activité centrale consiste à démolir des bâtiments à de petits endroits. Dans Bruxelles, j’ai déjà fait autant de marches arrière que de marches avant. (rires) Certains chauffeurs m’appellent : « Bon sang, Ronny, comment as-tu fait ton compte pour arriver là ? ». Je le prends comme un compliment. Le système ERT est un allié idéal pour ce genre de transport ; on s’en tire 1000 x mieux qu’avec un système traditionnel. Il ne chauffe pas, il est puissant, il est souple. Descendre une pente à 7 % avec 120 tonnes tandis que le camion est en marche avant, pendant un quart d’heure, et le camion ne bronche pas. Je connais d’autres poids lourds qui après une telle manœuvre sont bons pour une réparation. »
