ECS devient ambitieux pour ses activités douanières

Un an après l’introduction de la législation sur le Brexit, les business units ‘porte-à-porte’ et ‘supply chain’ d’ECS ont introduit un demi-million de déclarations en douane. Selon la société de Zeebruges, c’est plus que ce que traitent la plupart des agences en douane et cette progression rapide est due à une automatisation très poussée.

« C’est un chiffre gigantesque, car une agence en douane ne traite qu’entre trois et quatre cent mille déclarations par an en moyenne », explique Hugo Donche, Supply Chain & Development Director chez ECS. Le service douanier au sein de la business unit ‘porte-à-porte’ est composé de cinq employés qui s’occupent de la cargaison, de la pré-notification, du déchargement et des douanes du côté de l’UE et du Royaume-Uni. Une aure équipe de quatre personnes se charge des formalités douanières dans la business unit ‘supply chain’ et gère tous les processus de manière automatisée. « Pour huiler cette énorme machine administrative, ECS a en effet mis en place un processus très automatisé ces dernières années. Les clients peuvent fournir des données de différentes manières, par exemple sous forme de PDF, de feuilles de calcul ou via des connexions EDI. Dès qu’un envoi arrive, les données sont automatiquement traitées par le système et mises dans un formulaire de déclaration. Dans l’unité commerciale de porte à porte, cela se fait via des connexions EDI, dans la chaîne d’approvisionnement. Ce processus est entièrement automatisé. »

En 2022, ECS s’attend à voir les chiffres continuer à progresser. « Nous prévoyons une augmentation de 15 % », déclare Hugo Donche. « En outre, avec le service de porte-à-porte, nous espérons convaincre davantage de clients de nous confier l’ensemble de leurs démarches administratives au lieu de faire appel à des tiers. Comme nous traitons le plus possible en interne, nous réduisons les risques d’erreur et augmentons la vitesse et l’efficacité du traitement. Il existe encore de nombreux agents en douane qui travaillent manuellement, mais en tant que transporteur, ce n’est pas possible. Dans le secteur du commerce de détail en particulier, tout doit être fait très rapidement, et l’impact est donc plus grand lorsque les documents douaniers ne sont pas en ordre. Dans le ‘deep sea’, il y a plus de marge. »

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