Aujourd’hui, c’est la « journée du cariste » !
B-Close, le plus grand distributeur indépendant belge de chariots élévateurs de marque A, a lancé cette journée pour la première fois le 8 mai 2019 afin de mettre en avant le métier de cariste. Une initiative nécessaire, car depuis des années, le métier de cariste figure sur la liste des professions en pénurie. Et c’est un métier important, car chaque produit passe au moins une fois par un chariot élévateur.
Les tâches du conducteur de chariot élévateur ont d’ailleurs beaucoup évolué ces dernières années. Alors qu’auparavant, la force physique et l’agilité primaient, les compétences techniques et les connaissances numériques sont aujourd’hui tout aussi importantes. Les chariots élévateurs modernes sont équipés de capteurs, d’ordinateurs de bord et de systèmes de sécurité sophistiqués. Certains entrepôts utilisent même des appareils semi-automatiques ou autonomes, où le conducteur devient plutôt un opérateur ou un superviseur.
Un maillon indispensable
De plus, le rôle du conducteur de chariot élévateur est de plus en plus intégré dans des processus logistiques plus larges. Les systèmes de scan, la gestion des stocks et la saisie de données font désormais partie intégrante du métier. Le cariste est ainsi devenu un maillon indispensable du vaste écosystème logistique, où l’efficacité et la traçabilité sont essentielles.
B-CLOSE met aujourd’hui à l’honneur Gerard Goffin, cariste chez Derbigum, dans une vidéo. Gerard travaille dans le métier depuis près de 44 ans. Il raconte comment son travail a évolué : de la conduite à l’instinct au travail ergonomique, en passant par les systèmes d’aide à la conduite et les chariots élévateurs électriques. Selon les chiffres de B-CLOSE, en 2023, 73 % des chariots élévateurs vendus en Belgique seront électriques.
Vive les caristes !