TB : Avec l’arrivée de MAX Trailer, on a, à tort, l’impression que Faymonville ne se concentre plus sur le segment des semi-remorques légères et simples. Qu’est-ce que Faymonville peut encore offrir dans ce secteur (essentiellement composé d’entrepreneurs) ? AF : Pas question d’être absent de ce secteur. Grâce à notre large palette de produits et aux nombreuses options, Faymonville offre, pour ce segment aussi, la solution de transport parfaite et appropriée, quelle que soit la mission. Et, de plus, les options vers le plus haut de gamme sont nombreuses. TB : Comment se positionnent MAX Trailer et Faymonville l’un par rapport à l’autre ? AF : Faymonville propose des véhicules complètement adaptés aux missions de transport propres au client. C’est du sur mesure. MAX Trailer, par contre, travaille avec des composants standard pour des solutions meilleur marché sans pour autant faire de compromis sur la qualité. Nous couvrons ainsi les deux secteurs : les solutions individuelles avec Faymonville et les solutions standard avec MAX Trailer. TB : Combien de semis Faymonville a-t-il vendu ces dernières années en Belgique dans le segment le plus léger ? AF : Ces dernières années, nous avons pu immatriculer 150 nouvelles surbaissées sur le marché belge. Ceci confirme une fois de plus que nous sommes leader sur ce segment et que nous avons pu conserver cette position. TB : Les véhicules des deux marques sont-ils commercialisés via le même réseau de distribution ? AF : Les produits de Faymonville sont commercialisés en vente directe. Pour MAX Trailer, nous nous appuyons sur un réseau. En Belgique, Renting Car-WTS à Lummen, qui fait partie du groupe Faymonville, est le partenaire commercial officiel pour le marché national. TB : Quels sont les résultats obtenus par MAX Trailer depuis son lancement ? AF : Dans le secteur des petites surbaissées, MAX Trailer a su s’octroyer une part de marché significative. Des centaines de véhicules ont déjà été construits depuis son introduction en 2012. Les ventes actuelles indiquent une croissance. Au cours de la première année, l’usine produisait un véhicule par semaine. Cette année, la production est de 8 semis par semaine et atteindra les 10 unités en 2015.