Quelques jours après avoir comparu en Cour d’Appel, Roland Jost et ses trois collaborateurs ont été libérés de leurs bracelets électroniques. Il a donc été mis fin à leur détention provisoire. Jost Group se réjouit évidemment de cette libération : « Les documents probants apportés par les avocats ont permis de rendre évidente l’inutilité de la détention provisoire dans le cadre de l’enquête. Cette libération, leur permettant de travailler librement, constitue un signe très positif donné par les autorités quant à la procédure en cours. Le management, soutenu par l’ensemble du personnel, continue à être confiant dans le bon déroulement de l’enquête et à collaborer entièrement avec les autorités compétentes. »