Transport Mervielde a trouvé en Sustacon le partenaire qui l’aidera à réduire son impact environnemental. Il s’agit d’un projet portant sur plusieurs années et qui sera réévalué chaque année.
« Nous ne pouvons pas nier que le secteur des transports contribue de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre. certaines émissions sont tout simplement impossibles à éviter, mas cela ne signifie pas que nous ne puissions pas évoluer vers la neutralité carbone à terme. Nous voulons donc prendre nos responsabilités en neutralisant notre impact sur l’environnement. La coopération avec Sustacon, qui est un partenaire expérimenté dans ce domaine, s’inscrit donc dans notre stratégie « People-Planet-Profit » où ces trois piliers doivent se renforcer mutuellement », déclare Patrick Mervielde, directeur général de Mervielde.
Concrètement, Sustacon va aider Mervielde à mesurer son impact sur l’environnement (et pas seulement dans le domaine des émissions de CO2). Une équipe de projet déterminera ensuite une stratégie permettant de réduire cet impact et les actions découlant de cette stratégie seront réévaluées chaque année. « Il est encore trop tôt pour dire ce que nous allons faire concrètement », explique Patrick Mervielde. « Dans un premier temps, il s’agira de mesurer notre impact. C’est seulement ensuite que nous pourrons annoncer quelles actions nous mettrons en place. »
Mervielde n’a cependant pas attendu ce partenariat avec Sustacon pour rester différentes pistes. Plusieurs véhicules de la flotte roulent déjà avec des carburants de substitution comme le B30 et le B100 et le HVO fait également partie des pistes envisagées. La suite logique de ces premières actions devrait passer par des véhicules à zéro-émissions, mais ce type de décision sera pris dans le cadre du nouveau plan ‘durabilité’.
cette initiative est en tout cas saluée par
Hans Verboven (CEO de Sustacon et professeur à l’Université d’Anvers) : « Pour moi, Transport Mervielde est un très bon exemple de la manière dont les transporteurs prennent leurs responsabilités, de leur propre chef, pour réduire leur empreinte carbone. Cela se fait par le biais d’améliorations ciblées des processus et de certains investissements, mais aussi en faisant œuvre de pionnier en matière de nouvelles technologies et de carburants alternatifs. »
